On ne pourra bientôt plus jouer ou miser sur les sites de jeux d’argent que l’on souhaite ! Les sites les plus connus du monde, PokerStars, Bwin et 888 seront bientôt sur la sellette. La Confédération a finalement décidé, tardivement il faut l’admettre, de réguler l’industrie des jeux d’argent en ligne : le poker, les sites de paris et les casinos virtuels.
Plan de l'article
Les casinos traditionnels sur la toile
Les grands gagnants de la future application des nouvelles normes et lois seront les casinos basés en Suisse, ainsi que les maisons de jeux de catégorie B. Il a été décidé au sein du gouvernement que seuls les casinotiers exploitants seront autorisés à pouvoir disposer de sites de casino. Pour ce faire chaque exploitant de casino devra soumettre une demande d’extension de licence, celle-ci, si elle est accordée, permettra au casinotier qui en a fait la demande d’offrir toute une série de jeux de casino sur Internet : des machines à sous, des jeux à jackpots, du poker holdem et bien plus encore.
A découvrir également : Règles du jeu du pouilleux : animez vos soirées avec ce classique des cartes
Les casinos virtuels de Suisse
Pour connaître la liste des casinos en ligne de Suisse, il suffira de se rendre sur la page officielles des maisons de jeu, qui sera connue prochainement, ou alors de consulter des guides et des blogs spécialisés et actuels.
La particularité des casinos virtuels suisses est qu’ils seront une extension de leurs salles de jeux réels, ce qui promet d’être intéressant pour les joueurs souhaitant profiter d’offres et de promotions, chaque casino se livrant concurrence, il sera logique que chacun d’eux mettra tout en œuvre pour attirer une nouvelle clientèle.
Lire également : Créer du bleu facilement : techniques et astuces pour artistes et bricoleurs
Le poker et les paris sportifs
Les domaines le plus sensibles seront ceux liés au poker et aux paris, ceux-ci générant des volumes d’affaire considérables, on peut imaginer que le gouvernement suisse choisira la voie du protectionnisme en donnant l’exclusivité à un ou plusieurs opérateurs internationaux.